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Les maisons d’hébergement pour femmes débordent…Vraiment ?

by claudeBel24
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C’est devenu une pratique depuis longtemps de réserver la fin d’année pour donner et demander de l’argent. La Grande Guignolée est commencée et plusieurs centaines de millions s’envolent pour protéger les victimes et les victimisées, toujours de sexe féminin.

Depuis plus de 40 ans, les médias hurlent au Québec : les hôpitaux débordent, les tribunaux débordent, les maisons d’hébergement pour femmes victimes de violence débordent de telle manière que « chaque année, les [ladies] maisons [doivent] refusent[r] entre 6000 et 10 000 demandes d’hébergement ».

Il faut agir vite, construire d’autres, comme si la centaine de maisons existantes en ce moment et plus de 70 millions de subventions par année n’en seraient pas assez.

Et d’où vienne cette demande explosive tout à coup, quand après les statistiques les plus récentes la violence conjugale en baisse au Canada de 7% en 2004 à 4 % en 2016, sinon d’un autre mythe inventé par certaines féministes, dévoratrices de subventions publiques et ayant comme principal souci de rabaisser les hommes.

LA VIOLENCE CONJUGALE C’EST QUOI ?

La notion de la violence conjugale suit la théorie de la pente glissante et englobe aujourd’hui des notions auxquelles même les plus enragées féministes n’auraient pas pensé il y a 50 ans : violence psychologique, amoureuse, polyamoureuse, verbale, économique, émotionnelle, religieuse, pour nommer seulement quelques-unes. Ainsi dire, il suffit de demander à ta blonde de payer la moitié de la facture au restaurant pour lui générer une crise émotionnelle et des craintes économiques, situation pour laquelle elle aura le droit d’être considéré « victime de violence ».

De toute façon, personne ne vérifie ces organismes qui sont, en théorie, sous la tutelle du Ministère de la Santé et de services sociaux du Québec. D’ailleurs, même le Vérificateur Général avait été consterné de ce manque de contrôle et de transparence. Dans son rapport de 2008-2009 (en ligne ici), il est mentionné :

3.69   Une maison d’hébergement pour femmes violentées ou en difficulté comprenant six lits a vu sa subvention passer de 58 832 dollars à 406 817 dollars entre 2002‑2003 et 2006‑2007. En 2006-2007 :

  • elle a hébergé au total neuf personnes ;
  • son taux d’occupation a été de 12 p. cent (29 p. cent en 2005-2006) ;
  • son excédent annuel a été de 205 953 dollars (187 984 dollars en 2005-2006) ;
  • son excédent accumulé non affecté s’est élevé à 555 362 dollars au 31 mars 2007.

D’après le témoignage de certaines femmes hébergées là, ils s’avèrent que ces maisons représentent un vrai El Dorado pour une certaine catégorie sociale, très difficile à suivre et à établir leurs utilités. Il est évident qu’il y a un intérêt généralisé d’avoir le plus de « victimes » possibles pour justifier leur budget et pouvoir demander encore plus d’argent chaque année. Cependant, il faut savoir que :

  • la plupart des femmes hébergées ne sont pas vraiment de victimes de violence conjugale. Il suffit de vouloir quitter ton conjoint pour y être logé. Environ 40% des demandes sont faites pour motifs de « violence verbale et psychologique » et seulement 30 % pour violence physique. Le chiffre de 40% est inquiétant, étant donné que la violence verbale est très répandue et très large. Pourtant, il est connu que les femmes emploient ce type de violence plus souvent que les hommes. Une banale chicane de couple suffit pour y être logé;
  • beaucoup de femmes hébergées là sont elles-mêmes des agresseur[e]s, physique, verbale ou psychologique. D’ailleurs, le français est l’une des rares langues où le mot agresseur est toujours masculin;
  • une grande partie de ces «victimes» ont des problèmes de consommation (alcool drogue), prostitution ou trouble de personnalité;
  • beaucoup en trouvent que les Maisons de femmes sont une sorte d’hôtel, tout inclus et ne se gênent pas de revenir 3-4 fois pour de longs séjours. Surprenant, dans le cas de 50% des femmes qui retournent, on constate un alourdissement de leurs problèmes par rapport aux séjours précédents, ce qui suggère que ces femmes ont besoin d’autre type d’intervention et d’hébergement. Assurément, elles ne seront jamais capables de se sortir de ce cercle vicieux;
  • c’est suffisamment de motiver que la femme ne veut pas revenir auprès de son conjoint pour se voir accorder des logements de luxe à prix dérisoire (200 $ pour un 41/2, semi-meuble) après son séjour dans le centre d’hébergement;
  • un simple billet rédigé par l’une de ces intervenantes dans lequel est allégué n’importe quoi suffit pour pouvoir bénéficier d’un appartement à frais modique pour longtemps aux frais de contribuables;
  • les femmes et leur enfant peuvent bénéficier de nourriture gratuite pendant un an;
  • malgré ces avantages, la séparation du conjoint pèse plus lourd et ces femmes avec leurs enfants se voient trainées dans des situations de pauvreté extrême durant plusieurs années;
  • les intervenantes détruisent systématiquement leurs dossiers et effacent toutes les traces de leurs interventions, quoi se soit opportune ou pas. Le secret auprès de leur clientèle est très louche ce qui peut amener un verdict d’ACQUITTEMENT (voir R. c. Carosella – Décisions de la CSC);
  • les personnes hébergées dans certaines maisons sous mentionnée peuvent se procurer de vêtements de marque neufs (par exemple Tommy Hilfiger) avec la générosité du Ministère de la Santé et des Services Sociaux, car certains centres ont des ententes avec de distributeurs;
  • la distribution de la nourriture gratuite se fait d’une manière très empirique, sans aucune évidence. Il est évident que les intervenantes qui travaillent dans ces organismes font une belle vie;
  • personne ne se soucie pas des états financiers, de la surabondance de la nourriture et du gaspillage fait («quelques vitrines frigorifiques immenses, pleines ou tu pouvais servir tout ce que tu voulais, indiffèrent d’heure»);
  • les maisons de femmes peuvent hébergés les femmes qui se disent victime de violence religieuse. Selon cette théorie totalement déraisonnable, un homme qui essaye de sauver la vie de sa femme ou de son enfant qui refuse une transfusion sanguine au nom de sa religion commet un acte de…violence;
  • l’approche et les interventions auprès de leur clientèle se font d’une manière féministe radicale, ce qui ne fait qu’empirer leurs problèmes, leurs relations de couple actuelle ou ultérieure;
  • il n’est pas rare que certaines intervenantes rédigent des plaintes à la police au nom de la «victime», fait totalement illégal au Québec (selon la loi qui ne s’applique jamais aux femmes) et qui représente clairement une incitation au parjure et au méfait public;
  • ces organismes sont en lien avec de bureaux d’avocats et d’autres cartels qui vivent très confortablement tout en ruinant les hommes. D’ailleurs, elles connaissent très bien la loi et les failles du système;
  • ces maisons d’hébergement aident certaines femmes immigrantes à frauder le système d’immigration, tout en contournant ses failles;
  • les «victimes » sont très bien conseillées à détruire toute preuve compromettante et à faire du chantage régulièrement, souvent à faire de l’amour avec l’agresseur pendant une interdiction de rapprochement et dénoncer après le bris de condition;
  • le Québec compte trois fois plus de maisons d’hébergement pour les femmes qu’en Virginie et dix fois plus qu’en France.
  • Avec l’argent donné à ces organismes depuis 30 ans, le Québec aurait pu avoir une infrastructure routière digne d’un pays industrialisé.

 

 

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