Home injustice Contrôle coercitif, la dernière arme néo-féministe

Contrôle coercitif, la dernière arme néo-féministe

by claudeBel24
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Imaginez-vous la vie de couple dans un avenir proche. Vous arrivez à la maison après une longue et difficile journée au travail. Votre bien-aimée qui a passé toute sa journée devant la télé vous met en face une soupe froide, salée et qui traînait depuis deux semaines en frigo. Dans les années ’50, ce motif était suffisamment pour un homme de demander le divorce. Dans la société d’aujourd’hui, « moderne» et «progressiste», vous serez passible d’aller en prison si vous osez de dire la moindre chose négative concernant le « talent » en cuisine de votre conjointe.

 

C’est n’est pas un film de science-fiction d’horreur, mais bien l’avenir du Québec grâce à nos politiciens toujours «soucieux» et bien «informés». Le Gouvernement du Québec, représenté la ministre de la Condition féminine, Martine Biron et sa marionnette – Simon Jolin-Barrette – ministre de la Justice, fait de la pression sur celui fédéral pour de pas «tarder» à criminaliser le contrôle coercitif.

 

 

Les avocats du Québec saluent cette décision,  car on trouve du contrôle coercitif dans « 92 % des dossiers de violence conjugale» et que cela représenterait (en conséquence) une autre mine d’or pour les acteurs impliqués dans le système.

Si tu quittes, je vais t’enlever la garde de tes enfants

…c’est du contrôle coercitif, affirme Me Marie-Claude Richer, avocate et directrice du projet Rebâtir, sauf que cette phrase est prononcée dans les 90% par des femmes qui ont la garde des enfants dans la même proportion.

Il est d’ailleurs connu que les femmes font de la violence verbale dans la même mesure que les hommes, (voir ici les statistiques officielles), sinon plus :

 

Alors, pourquoi mettre encore plus de la pression sur les épaules des hommes et les punir encore plus pour quelque chose dont eux-mêmes sont victimes ?

 

D’où vient et qu’est-ce qu’il représente cette notion de contrôle coercitif ?

LA VIOLENCE CONJUGALE C’EST QUOI ?

Un certain professeur de l’Université d’Ottawa, M. Simon Lapierre explique que le contrôle coercitif

« consiste certes dans les actes de violence, mais qu’il faut considérer également les diverses tactiques utilisées par les agresseurs pour contrôler leur conjointe, ex-conjointe et les enfants comme de les priver de liberté et les dépouiller de leur estime d’eux-mêmes. Ces stratégies peuvent inclure l’isolement, la manipulation, le dénigrement, ainsi que les critiques et la surveillance constante. »

Encore une fois, dans ces études l’homme est toujours la personne qui fait du contrôle et la femme l’éternelle victime. D’ailleurs, l’objectif même de ces études et le financement même est de culpabiliser encore plus les hommes et donner plus de subventions aux organismes féministes.

Imaginez-vous l’anarchie créé si un jour Ottawa acceptera de donner suite à cette demande irréaliste et irréfléchie du Gouvernement du Québec :

  • des milliers d’hommes en prison pour avoir critiqué leur conjointe;
  • une demande explosive pour le budget du Ministère de la Sécurité publique et celui de Justice;
  • des tribunaux engorgés;
  • des criminels dangereux en liberté, car le système sera occupé à 90% avec le contrôle coercitif;
  • une économie paralysée;
  • des familles ruinées.

«L’éminent» professeur explique plus loin

« qu’examinées de manière isolée, ces tactiques ne constituent pas des actes de violence [pas besoin d’intervention de la police alors, mais que] l’accumulation de celles-ci permet[trait] »

de vous envoyer en prison, si une telle loi est votée un jour.

Selon les maisons des femmes victimes de violence conjugale, il y a du contrôle coercitif si :

  • Mon partenaire doit toujours avoir le dernier mot;
  • Mon conjoint invente des histoires puis me fait douter de ma mémoire;
  • Il fait les courses pour m’éviter de sortir;
  • Il ne m’encourage jamais. Même ses compliments sont à double sens: « C’est le premier repas que tu aies cuisiné depuis des mois;
  • Vous ne donnez pas assez d’argent à votre conjointe ou si vous ne payez pas le facture au resto;
  • Il menace d’appeler les autorités (services de protection de l’enfant, l’immigration, la police) !

N’appelez jamais la police pour réclamer que vous êtes une victime de violence de la part de votre conjointe, car il se peut que vous fassiez du contrôle coercitif.

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