La Belle Province est le paradis des immigrants étrangers qui veulent contourner la loi, tout en ruinant la vie des citoyens honnêtes et travaillants.
Au Québec, dans le cadre d’un parrainage familial, le parrain est tenu de rembourser au gouvernement toute somme que ce dernier a dépensé avec le parrainé, tel que : l’aide sociale, soins dentaires ou séjour à l’hôpital. Le ministère de l’Immigration, de la Diversité et de l’Inclusion stipule qu’il n’y a aucune clause de résiliation à ce fameux contrat, même si la personne parrainée est de mauvaise foi. Ces sommes peuvent monter facilement à de dizaines de milliers de dollars.
En février 2012, le ministre fédéral de l’Immigration, Jason Kenney avait annoncé une loi visant la protection des parrains, en imposant une période de résidence probatoire à la personne parrainée d’au moins deux ans.
Cette mesure était envisagée à la suite d’une consultation publique qui a permis d’analyser près de 2 500 commentaires en ligne sur le site du Ministère. Après les avoir eu analysés, le gouvernement a statué qu’il devrait combattre ce flagelle.
L’ex-ministre Kenney s’était inspiré des pays avec une longue tradition en matière d’immigration : l’Australie, le Royaume-Uni et les États-Unis. Ces états imposent aux parrainés une période de probation de deux à cinq ans justement pour éviter la fraude en matière d’immigration et pour protéger le parrain. Tout au long de ce délai, il y a des rencontres régulières du couple avec les officiels d’immigration afin de ne pas laisser un doute sur la bonne foi de leur relation et vieillir au sujet de l’intégration de la personne parrainée dans la société d’accueil.
Adopté en 2015 par les conservateurs, cette mesure a été l’une des premières à être abrogée par le nouveau gouvernement libéral de Justin Trudeau sous le lobby néo-féminisme, en laissant des milliers de parrains pratiquement sans aucune protection.
Étant une société complètement distincte des autres et complètement dysfonctionnelle, le Québec, en plus de permettre le contournement des lois en matière d’immigration, l’encourage carrément. À peine arrivée au pays, votre flamme peut se volatiliser, demander une allocation d’aide sociale sans vous informer la moindre chose, ou au pire, vous accuser de harcèlement lors que vous lui demandez des nouvelles.
LE DÉLIRE DE LA VIOLENCE CONJUGALE
La porte de sortie et implicitement la solution de camoufler la fraude en matière d’immigration est le statut de victime de violence conjugale. D’ailleurs, les femmes qui vont employer cette stratégie soit préparent leur plan avant d’y arriver, soit elles sont conseillées par une multitude d’organismes bienveillants, contentes d’avoir une nouvelle clientèle.
C’EST QUOI LA VIOLENCE CONJUGALE INVOQUÉE ?
L’Organisation mondiale de la santé (OMS) définit la violence comme : l’utilisation intentionnelle de la force physique, de menaces à l’encontre des autres ou de soi-même, contre un groupe ou une communauté, qui entraîne ou risque fortement d’entraîner un traumatisme, des dommages psychologiques, des problèmes de développement ou un décès
Cependant, au Canada et notamment au Québec, la notion de la violence conjugale suit le sophisme de la pente glissante et a changé au fil du temps pour inclure tout aspect qui pourrait incriminer un homme. Ainsi dire, il existe une violence : psychologique, sexuelle, économique, religieuse, spirituelle, etc., sans pourtant avoir une définition claire à ce sujet et un consensus parmi même les organismes officiels du Gouvernement.
Ainsi dire, votre femme pourrait invoquer le fait que vous ne lui donnez pas assez d’argent pour vivre comme une reine pour invoquer la violence économique. De même, lui interdire des séances de spiritisme, vaudou haïtien ou d’autres formes de sectarisme pourrait être perçu comme une forme de violence religieuse ou spirituelle qui nécessiterait qu’elle quitte votre domicile et demander, peut-être, l’hébergement dans une maison de femmes victimes de violence. Il est important de souligner que, dans la plupart de cas, les agresseurs sont elles-mêmes, soit physiquement, soit psychologiquement.
Sachez qu’avec l’aide d’une intervenante « spécialisée » et sur la base d’un rapport fictif dans lequel il est mentionné n’importe quoi, votre bien-aimée pourrait demander l’aide sociale sans même vous aviser comme elle était d’ailleurs obligée dans ce fameux contrat d’engagement avec le Gouvernent du Québec, car elle est une « victime ». Prenez en compte qu’il n’y a aucun organisme et aucun fonctionnaire à ce soucier de cet aspect et à faire la moindre vérification, même si elle travaille, en plus, au noir pour arrondir ses fins du mois.
Notez que tout espoir de signaler une situation de fraude en matière d’immigration au Canada est voué à l’échec, parce qu’il n’y a aucun bureaucrate pour s’occuper de ce problème, malgré une augmentation substantielle du personnel sous le gouvernement libéral de Justin Trudeau. Vous pouvez essayer toujours d’attendre des heures au téléphone sans réponses ou d’envoyer vos documents à un numéro de fax fictif.
Encore pire, si vous essayez de signaler votre situation à votre député local : fédéral ou provincial. Dans ce cas, vous seriez chanceux si vous receviez le fameux message de réception de votre demande, sans pourtant avoir un suivi ou un souci pour votre sort. Pourquoi s’inquiéter donc pour un immigrant illégal en trop quand il y a cinq cent mille ?
Sachez qu’en plus, en cas de divorce, vous avez l’obligation de payer à votre dulcinée une pension alimentaire, sauf si vous n’avez pas vraiment les moyens de subsistance pour vous-même, et que vous avez autant de chances d’obtenir une annulation de mariage que celles de gagner au 6/49. De toute façon, vous devriez rembourser les sommes dues au Gouvernement même si théoriquement vous dénichez le billet gagnant, car même la mauvaise foi prouvée devant un juge, dans un procès juste et équitable (quelle illusion au Québec !), ne suffira pas pour annuler votre engagement de parrainage !
Réjouissez-vous quand même si vous êtes épargné de subir l’horreur des poursuites criminelles. Sachez qu’au Canada, vous pouvez être condamné pour harcèlement criminel pour un simple appel ou message texte, tout dépendamment des habilités de la présume victime d’impressionner le juge et démontrer qu’elle avait bien des craintes. D’ailleurs, un verdict de culpabilité dans une telle situation est loin d’être étonnant, en sachant la diabolisation des hommes dans ce pays, être homme étant synonyme d’être potentiel criminel.
Si vous êtes accusé pour quoi que ce soit, il pourrait vous être imposé de quitter votre domicile conjugal jusqu’à la fin de procédures, voir longtemps après, et laisser votre chérie demeurer chez vous, tout en lui payant les factures et lui laissant la possibilité de réaliser ses fantaisies dans votre lit nuptial avec qui que ce soit. Et même, si par miracle vous prouvez votre innocence après des années, n’oubliez pas que vous êtes un résident de la « Belle Province » et que ce fait ne suffira pas pour annuler l’engagement de parrainage !
Espérons qu’un nouveau gouvernement conservateur corrigera l’erreur monumentale du Justin Trudeau (parmi les plusieurs autres), et qu’il remettra une clause afin de protéger les bons citoyens.
Ce « fameux » Contrat de Parrainage avec le Gouvernement du Québec doit respecter les mêmes clauses que n’importe quel type de contrat civil.
Pour qu’un contrat soit valide, il faut que les trois conditions soient respectées :
- le consentement (l’accord) mutuel entre les parties ;
- la capacité de contracter de chacun ;
- que son contenu ne soit pas illicite.
Ce contrat n’est pas un accord commun entre les parties, il est imposé par le Gouvernement. En effet, chaque cas devrait être différent.
De plus, dans ce contrat il est mentionné l’obligation de la personne parrainée d’aviser le garant s’il fait recours à l’aide sociale. Le ministère de l’Emploi et Solidarité Sociale ne connait même pas cette clause et peut se prélever d’elle, surtout quand la violence conjugale est invoquée. Au soutien de ses allégations, la personne en cause ne doit démontrer aucune preuve pour démonter son statut de victime, une simple plainte écrite en suffit.
Étant de bonne foi, le garant signe ce contrat sans connaitre ce piège ce qui constitue dans le droit civil un vice de consentement. Ce vice devrait alors entraîner la nullité du contrat.
De surcroît, un parrain victime lui-même de violence conjugale de la part de la personne parrainée sera obligé à lui rembourser l’aide sociale payé par le Gouvernement !!!
Pour remédier cet abus, il y a deux solutions :
- un recours civil contre le Gouvernement du Québec pour demander un montant important pour toutes les victimes de ce canular;
- contester l’article en cause et le rendre illégal.
Je vous invite à vous rejoindre à cette cause et à fournir un petit effort pour soutenir matériellement un procès qui entraînera des conséquences directes dans votre dossier de parrainage, et qui vous coutera infiniment moins cher que d’être obligé de rembourser des milliers de dollars au Gouvernement en cas de fraude :