Home psychologie La théorie du genre : réalité ou idéologie aux profits du Big Pharma ?

La théorie du genre : réalité ou idéologie aux profits du Big Pharma ?

by claudeBel24
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Qu’est-ce que la théorie du genre ?

La théorie du genre c’est un concept selon lequel le genre n’est pas une question biologique, mais plutôt un concept social. C’est-à-dire qu’à la naissance, notre société « bienveillante » et « progressiste » nous assigne un sexe temporel, tout comme un simple numéro qu’on pourrait changer à tout moment.

Cela signifie qu’on doit regarder au-delà de notre corps et de notre réalité physique pour comprendre qui nous sommes. Cette approche remet en question les rôles traditionnels que la société attribue aux hommes et aux femmes et tout autres théories scientifiques au sujet de l’évolution de la vie sur la Terre.

 

L’origine et l’évolution de la théorie du genre

La théorie du genre a émergé dans les années 1970 avec de célèbres penseurs, comme Judith Butler et Simone de Beauvoir. Il faut se rappeler le célèbre slogan « on ne naît pas femme : on le devient » – de l’essai féministe publié en 1949 par celle qui est considérée aujourd’hui la principale fondatrice de la pensée féministe moderne.

Le débat est repris dans les années ’90 avec la publication de l’essai philosophique de Judith Butler « Trouble dans le genre », ouvre vendues à plus de 100 000 exemplaires.

En 2011, la théorie du genre fait partie de l’enseignement obligatoire des lycées français.

En 2023, de nombreux parents d’une école primaire de Richelieu, Canada, manifeste publiquement leur mécontentement sur les réseaux sociaux suite à une lettre explicative de la direction pour expliquer le titre à privilégier pour s’adresser à Mx Martine, la (le) nouvelle (nouveaux) enseignant(e). Cette lettre explicative fait de multiples références à la théorie du genre adoptée par plusieurs pays, le Canada en particulier.

 

Quand « Radio-Canada donne de la crédibilité à une théorie du complot »

 

Dans le reportage-enquête « Trans express » diffusé en février 2024, la célèbre scène de rediffusion nous surprend avec de détails méconnus à ce sujet.

Selon la chaîne nationale canadienne, la première étape de la « transition » est l’administration du Lupron afin de donner du temps au jeune « transitaire » de bien réfléchir aux étapes suivantes, irréversibles. Cette hormone était utilisée initialement pour le traitement de la puberté précoce chez les mineurs. À la suite de son administration, les modifications pubertaires spécifiques (menstruations, développement des seins – chez les filles, ton de voix, pilosité, ossature – chez les garçons) devraient cesser ou régresser.

L’un des effets de la médiatisation excessive de la théorie du genre est l’explosion du nombre de prescriptions de cette hormone.  Les statistiques au Québec parlent d’une augmentation de six cents pour cent entre 2010 et 2023.

Lupron, une hormone qui détruit nos enfants ?

La psychose médiatique liée à la théorie du genre a entraîné une panoplie de problèmes, souvent irréversibles, chez nos enfants :  des jeunes adultes immatures physiques et psychologiques, problèmes du tissu musculaire, système osseux, problèmes cardiaques et de la dépression sévère.

Le Lupron peut causer une faible densité minérale osseuse qui peut occasionner des fractures, douleurs ou déformations graves.

Une faible densité neuronale peut entraîner une déficience intellectuelle, problèmes de mémoire, concentration, Alzheimer ou d’autres problèmes de vieillissement cérébral.

Cette hormone utilisée pour la « transition » peut provoquer de sévères réactions cutanées, et même une hypertension intracrânienne idiopathique.

Le Lupron peut causer la diminution du nombre des globules blancs ce qui rend les individus très vulnérables à la moindre infection.

Des problèmes psychologiques liés à son administration sont fréquemment rencontrés : de l’irritabilité, agitation, colère jusqu’à des syndromes d’agressivité sévère.

Les scientifiques avertissent du risque de développement du cancer de la prostate à la suite de l’administration de Lupron.

 

 

Votre sexe…il ne vous appartient pas…

il vous a été assigné (prêté) à la naissance, vous n’étiez pas né avec; c’est à la société de décider votre sort, qui vous êtes et qui vous le serez.

Cet apophtegme n’est pas un extrait du livre « Le Meilleur des mondes », d’Aldous Huxley, mais bien la réalité d’aujourd’hui anticipée par le célèbre romancier visionnaire il y a plus d’un demi-siècle.

Aujourd’hui, on assiste avec stupeur à un endoctrinement sans précèdent de nos enfants dans les écoles de la province, comme ailleurs en Occident. Au Québec, il est plus facile pour un adolescent de changer son sexe que son nom. Une simple recommandation d’un professionnel de la santé en suffit !!!

Au Royaume-Uni, le nombre de transitions a explosé de 3 200 % en dix ans. Cependant, personne ne parle ni des effets secondaires ni du pourcentage de gens qui regrettent leur choix.

En Suisse, les études parlent d’un très faible pourcentage, de 0,6% à 2% pour la « détransition ». Cependant, les scientifiques n’arrivent pas à faire de la lumière sur le sujet de retour « en-arrière » qui est, également, assujetti aux frais des contribuables. La réalité est bien plus dure : à travers les années, la « minorité » qui regrette d’avoir pris le chemin de la « transition » risque de devenir une majorité.

Au Royaume-Uni, lorsque le psychothérapeute britannique James Caspian a tenté d’obtenir une réponse à cette question, sa demande a été refoulée immédiatement parce qu’elle visait à discréditer l’Université (cas semblable au professeur Patrick Provost de l’Université Laval du Québec, Canada).

 

Pourquoi déconstruire le modèle classique de l’homme et de la femme ?

 

  1. Aldous Huxley tente de répondre à cette question à travers ses œuvres, il y a très longtemps : pour avoir de la « stabilité sociale ». L’individu désorienté, qui ne sait plus comment s’identifier du point de vue biologique ou social est plus manipulable. Il ne se révolte point, il accepte toutes les injustices imposées;
  2. La distraction est l’une des armes les plus puissantes de la manipulation des masses. Pour éloigner l’attention du public aux affaires de corruptions importantes, les médias sont inondés avec les problèmes de Mx Martine.

 

 

La théorie du genre, un vrai gain pour la société ?

 

Dans une entrevue radio diffusée en 2023, Dora Moutot – militante féministe française – parle d’un coût réel, de base, de 100.000 euros (approximatifs 150.000 dollars canadiens) pour la « transition » d’un homme.  Cette somme inclue : la prise d’hormones à vie, nombreuses opérations (sexe, seins, cordes vocales, etc.), suivi psychologique; il est supporté intégralement par l’ÉTAT français.

À ce coût, les « transitaires » doivent ajouter de leurs poches des sommes importantes pour : des traitements d’épilation, liposuccion, injections, botox, manucure, etc. Il est difficile de comprendre la source de ces dépenses importantes, alors que le revenu annuel moyen de ces personnes tourne autour de 15 000$.

Le processus de transition dure en moyenne entre 4 et 5 ans, période dans laquelle le demandeur doit s’absenter souvent du marché du travail. Son absentéisme se traduit souvent en semaines, voire des mois de travail perdus. Ils vont finir par exaspérer les employeurs et causer des pertes de millions aux entreprises. Même après une « transition » réussite, la situation financière des individus en cause ne s’améliore que rarement et les problèmes d’absentéisme au travail demeurent comme avant.

 

 

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